Formateur au CFA SEPR d’Annonay depuis un an, Michel Faurite a obtenu en 1982 son Cap boucherie dans ces mêmes murs où il forme aujourd’hui les jeunes apprentis.
Une vocation pour la boucherie, qui chez lui est née spontanément, sans aucun exemple dans son entourage. Une vocation confirmée tout au long de 36 ans d’exercice du métier, d’abord en tant que salarié puis boucher à son compte.
« C’est un métier qu’il faut aimer, car il n’est pas toujours facile et fut à l’époque très physique. Le métier de boucher nécessite également de vrais aptitudes à la vente et un sens relationnel important. »
Aujourd’hui, les conditions du travail se sont bien améliorées, les charges lourdes sont assurées par les rails et le secteur se féminise. Et si les clients consomment moins de viande rouge aujourd’hui, il faut les accueillir avec encore plus d’attention et proposer de nouveaux services, comme la pré-découpe (cuisse, aile, filet), alors qu’à l’époque un poulet a été acheté en entier.
Déjà, en tant que maitre d’apprentissage, Michel Faurite a formé de nombreux apprentis. La réussite et la motivation des jeunes constituent pour lui la meilleure récompense pour les efforts investis. Il y a deux ans, Michel a décidé de vendre sa boucherie et consacrer la dernière étape de sa vie professionnelle à la transmission de son savoir-faire. Ce qu’il réussit à merveille devant cette classe de Cap boucher, tous appliqués à leur travail de désossement.
Photographie (c) Léo Germain
Une vocation pour la boucherie, qui chez lui est née spontanément, sans aucun exemple dans son entourage. Une vocation confirmée tout au long de 36 ans d’exercice du métier, d’abord en tant que salarié puis boucher à son compte.
« C’est un métier qu’il faut aimer, car il n’est pas toujours facile et fut à l’époque très physique. Le métier de boucher nécessite également de vrais aptitudes à la vente et un sens relationnel important. »
Aujourd’hui, les conditions du travail se sont bien améliorées, les charges lourdes sont assurées par les rails et le secteur se féminise. Et si les clients consomment moins de viande rouge aujourd’hui, il faut les accueillir avec encore plus d’attention et proposer de nouveaux services, comme la pré-découpe (cuisse, aile, filet), alors qu’à l’époque un poulet a été acheté en entier.
Déjà, en tant que maitre d’apprentissage, Michel Faurite a formé de nombreux apprentis. La réussite et la motivation des jeunes constituent pour lui la meilleure récompense pour les efforts investis. Il y a deux ans, Michel a décidé de vendre sa boucherie et consacrer la dernière étape de sa vie professionnelle à la transmission de son savoir-faire. Ce qu’il réussit à merveille devant cette classe de Cap boucher, tous appliqués à leur travail de désossement.
Photographie (c) Léo Germain
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Michel Faurite, ancien boucher et formateur au CFA d’Annonay
2016-08-18 14:23:37
www.latoilesepr.com
https://www.latoilesepr.com/medias/image/192523953457582abd5d540.png
2016-11-16 14:23:38
2016-08-18 11:27:01
Maryna Kumeda
Formateur au CFA SEPR d’Annonay depuis un an, Michel Faurite a obtenu en 1982 son Cap boucherie dans ces mêmes murs où il forme aujourd’hui les jeunes apprentis.
Une vocation pour la boucherie, qui chez lui est née spontanément, sans aucun exemple dans son entourage. Une vocation confirmée tout au long de 36 ans d’exercice du métier, d’abord en tant que salarié puis boucher à son compte.
« C’est un métier qu’il faut aimer, car il n’est pas toujours facile et fut à l’époque très physique. Le métier de boucher nécessite également de vrais aptitudes à la vente et un sens relationnel important. »
Aujourd’hui, les conditions du travail se sont bien améliorées, les charges lourdes sont assurées par les rails et le secteur se féminise. Et si les clients consomment moins de viande rouge aujourd’hui, il faut les accueillir avec encore plus d’attention et proposer de nouveaux services, comme la pré-découpe (cuisse, aile, filet), alors qu’à l’époque un poulet a été acheté en entier.
Déjà, en tant que maitre d’apprentissage, Michel Faurite a formé de nombreux apprentis. La réussite et la motivation des jeunes constituent pour lui la meilleure récompense pour les efforts investis. Il y a deux ans, Michel a décidé de vendre sa boucherie et consacrer la dernière étape de sa vie professionnelle à la transmission de son savoir-faire. Ce qu’il réussit à merveille devant cette classe de Cap boucher, tous appliqués à leur travail de désossement.
Photographie (c) Léo Germain
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